Friday, September 08, 2006
Ouch...
Je viens de connaître deux journées pénibles au boulot. Deux en deux jours, c'est du jamais vu. Hier, je me suis battu pour garder des produits à l'usine au lieu qu'ils quittent vers une autre usine et j'ai perdu. On m'a également nargué à plusieurs reprises et j'ai fait comme Patrick Huard: j'ai fermé ma gueule.
Aujourd'hui, j'ai dû annoncer la mauvaise nouvelle à des gens à l'usine. Contre toute attente et à ma grande stupéfaction, on m'a presque mis le départ des chandails sur le dos, m'accusant de mal communiquer et que ça (que j'ai traduit par ma direction) allait aussi mal qu'il y a cinq ans. Il y a cinq ans, c'était pas fort à la direction de l'usine. On s'en sert comme référence quand on veut parler de comment loin on revient. Me faire comparer à cela, c'est pire qu'une claque en plein visage.
Je ne sais pas comment ça va revirer mais ces gens là, je me dois d'avoir leur absolue confiance et si le lien de confiance est brisé, un peu comme au hockey, ou bien les joueurs partent, ou bien le coach doit partir. Habituellement, le coach part car c'est plus facile de le remplacer juste lui que de remplacer plusieurs joueurs d'un seul coup. Mettons que ça m'a mis pas mal à terre. J'ai appelé mon boss qui m'a dit de ne pas m'en faire et de passer une bonne fin de semaine (sic) et que tout allait se régler lundi car il allait leur parler dans la face. Pas sûr qu'après ça, les autres vont avoir le sourire dans la face et que l'on va revenir comme avant...
J'ai décidé d'écrire tout ça afin d'extérioriser. Pour une raison que j'ignore mais très appropriée, j'ai eu les mots suivants en tête: "When I find myself in times of trouble, Mother Mary comes to me, speaking words of Wisdom: Let it be." J'aurais bien appelé Mother Mary mais elle a son lot de problèmes elle aussi alors je ne veux pas l'accabler avec les miens. J'ai jasé avec Barb et après avoir parlé à mon boss, il y a un bout du moton qui est sorti et le dernier sort par l'écriture de ce texte.
Tiens, je vais aller sacrer une volée à un démocrate dans quelques minutes et ma fin de semaine devrait bien commencer, d'autant plus que JHL s'en vient. J'aurais juste aimé qu'elle commence en même temps que tout le monde...
Aujourd'hui, j'ai dû annoncer la mauvaise nouvelle à des gens à l'usine. Contre toute attente et à ma grande stupéfaction, on m'a presque mis le départ des chandails sur le dos, m'accusant de mal communiquer et que ça (que j'ai traduit par ma direction) allait aussi mal qu'il y a cinq ans. Il y a cinq ans, c'était pas fort à la direction de l'usine. On s'en sert comme référence quand on veut parler de comment loin on revient. Me faire comparer à cela, c'est pire qu'une claque en plein visage.
Je ne sais pas comment ça va revirer mais ces gens là, je me dois d'avoir leur absolue confiance et si le lien de confiance est brisé, un peu comme au hockey, ou bien les joueurs partent, ou bien le coach doit partir. Habituellement, le coach part car c'est plus facile de le remplacer juste lui que de remplacer plusieurs joueurs d'un seul coup. Mettons que ça m'a mis pas mal à terre. J'ai appelé mon boss qui m'a dit de ne pas m'en faire et de passer une bonne fin de semaine (sic) et que tout allait se régler lundi car il allait leur parler dans la face. Pas sûr qu'après ça, les autres vont avoir le sourire dans la face et que l'on va revenir comme avant...
J'ai décidé d'écrire tout ça afin d'extérioriser. Pour une raison que j'ignore mais très appropriée, j'ai eu les mots suivants en tête: "When I find myself in times of trouble, Mother Mary comes to me, speaking words of Wisdom: Let it be." J'aurais bien appelé Mother Mary mais elle a son lot de problèmes elle aussi alors je ne veux pas l'accabler avec les miens. J'ai jasé avec Barb et après avoir parlé à mon boss, il y a un bout du moton qui est sorti et le dernier sort par l'écriture de ce texte.
Tiens, je vais aller sacrer une volée à un démocrate dans quelques minutes et ma fin de semaine devrait bien commencer, d'autant plus que JHL s'en vient. J'aurais juste aimé qu'elle commence en même temps que tout le monde...
